Candide ; Voltaire ; 1758

Histoire: Il n'y a pas d'effet sans cause, Candide devrait le savoir! Tout acquis aux leçons de l'optimiste docteur Pangloss -selon qui tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles-, Candide mène une existance heureuse dans le château de Thunder-ten-tronckh. Mais un jour, pour avoir embrassé la belle Cunégonde, il est brutalement chassé de son paradis terrestre. De la Westphalie jusqu'en Turquie, en passan par la Hollande, l'Angleterre, le Portugal et les Amériques, il découvre une réalité odieuse, où la barbarie des hommes n'a égale que l'horreur provoquée par les catatrophes naturelles. Instaurant un dispositif satirique d'une méchanceté inouïe à l'encontre des métaphysiques stériles, Voltaire rédige le plus noir mais aussi le plus enjoué de ses contes philosophiques.

Mon avis: 3.5/5 J'ai trouvé ce conte philosophique plutôt simple à lire, je l'ai lu plutôt rapidement. Et puis j'ai bien aimé. Je ne me suis pas contenté de lire bêtement phrases après phrases, j'ai essayé de  bien comprendre, surtout que la prof nous a fait un contrôle dessus. Nous l'étudions et je le trouve d'autant plus intéressant. Je trouve qu'il y a une certaine leçon de vie, et Voltaire ici critique la naïveté flagrante, qui est représenté par Candide. En effet, le personnage paraît parfois crédule et stupide par son éducation par le docteur Pangloss, qui enseigne la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Les discours de ce "docteur" sont sans intérêt, il ne cesse de répéter que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles, une espèce d'Eden.  Mais à travers ses voyages, Candide apprendra ce qu'est le monde réel.

Nombre de pages: 169

Remarque: Le nom complet du conte est "Candide ou l'Optimisme"