La photo qui tue ; Anthony Horowitz ; 2007

Histoire: Un appareil photo d'occasion bien embarrassant, une antique baignoire en fonte d'où s'écoule du sang, un bus de nuit sans passager, un ordinateur démodé qui affiche des messages inquiétants, un souvenir rapporté de vacances... Neuf histoires à vous glacer le sang, où la réalité la plus anodine glisse inexorablement vers le cauchemar.

Mon avis: 5/5 Sur les neuf histoires, il n'y en a qu'une qui ne m'a pas franchement plue. Sinon, j'étais absorbée par ce livre que j'ai absolument adoré pour les huit autres nouvelles. Ces dernières sont plus ou moins inquiètantes, et certaines ont une fin dont on ne s'attend pas le moins du monde, avec un joli coup de théâtre je trouve. Ce qui m'a beaucoup plu, c'est que la situation initiale est tout à fait banale. Et puis quand viennent l'élément perturbateur et les péripéthies, l'histoire s'accélère pour aboutir sur un élément de résolution et une situation finale plutôt déroutants! De plus, elles se passent toutes plus ou moins à Londres, une ville qui m'a toujours fascinée.

Nom original: Horowitz horror

Pays d'origine: Angleterre

Nombre de pages: 218

Les neuf nouvelles:

"La photo quie tue"

"Bain du soir" (♥)

"Transport éclair"

"Le bus de nuit"

"Peur"

"L'horrible rêve d'Harriet"

"Jeux vidéo"

"L'homme au visage jaune" (♥)

"L'oreille du singe"

(♥) → les nouvelles que j'ai particulièrement aimées